Déesse et vermisseau

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il y a 6 ans

Nous sommes un couple marié, plutôt "classique"...

Dès nos premiers rapports, mon Epouse avait commencé à avoir systématiquement des problèmes suite aux pénétrations. Sa vulve est étroite et hypersensible. Elle se blesse et cela provoque des infections.

Nous avons bien sûr tout tenté mais les problèmes persistent. Très vite, Elle m'a fait comprendre que la pénétration lui coûtait et qu'Elle le faisait surtout pour moi… Elle n'éprouve pas vraiment de plaisir de cette façon.

Elle a développé une sorte de "non-enthousiasme" :

Comme il lui est nécessaire de bien se laver au Septivon après un rapport, la flemme d'envisager toute cette procédure peu romantique pour si peu de plaisir lui fait reporter nos tentatives "à un autre jour..."

Les mois passent sans même compter... Fort heureusement, Elle aime les câlins et a vite énormément apprécié le cunnilingus après quelques réticences au début.

Elle jouit sous ma langue, ma bouche appliquée...

Et je suis le plus heureux des hommes. Qu'est-ce qu'une jouissance coïtale par rapport au sublime bonheur, à genoux, de déguster le sexe de sa Femme..? De vénérer tout son corps..?

Pour que je puisse jouir, Elle pose totalement offerte à mon regard, que je puisse me masturber en regardant son sexe de très près. Si je ne peux pénétrer son sexe, Elle me dit qu'il m'appartient néanmoins : Je peux le regarder, le vénérer, le raser, le lécher, en disposer de toute autre manière...

Parfois Elle s'endort après avoir joui. J'ai alors découvert qu'il peut être délicieux de devoir rester sous tension sexuelle.

J'ai vu une fois une photo intrigante sur Internet : Une dominatrice faisait porter à un soumis grassouillet un petit dispositif cadenassé qui emprisonnait sa quéquette..!

J'étais rêveur en imaginant la sensation d'avoir le sexe engrillagé et me disais que cette femme devait être très ingénieuse d'avoir posé un tel dispositif.

J'ai réalisé avec du thermoplastique quelques prototypes de coques rudimentaires, peu esthétiques mais néanmoins efficaces.

Un jour, sur Doctissimo, j'ai découvert que c'était un accessoire commercialisé appelé CB-2000 et que ça commençait même à devenir une pratique "tendance"..!

J'ai découvert le groupe Yahoo et j'ai acheté une CB-3000.

J’étais tout excité en ramenant la CB chez moi. J’ai fait de longs essais sur plusieurs semaines.

Le plus dur restait à venir :

Expliquer mon désir d’être encagé à ma Femme sans être pris pour un taré..!

J'ai rassemblé sur une page Word des photos et articles expliquant que la CB est un petit gadget romantique en train de devenir à la mode et que les femmes qui ont eu la surprise de voir leur mari accepter d'essayer sont très satisfaites !!!

J'ai soigneusement évité de lui montrer la CB dans un contexte SM avec des pratiques de t o r t u r e s de couilles ou autres horreurs choquantes vues sur des sites.

De même, je ne désire pas lui montrer les pratiques de travestissement, de soumission SM hard, castration ou le cuckolding qui ne font pas du tout partie de ma demande ni de mes fantasmes.

Elle a bien ri en découvrant les images de cette pratique. Elle a dit que c’était une excellente idée et que je devrais en mettre une..!

Plus tard, je suis revenu à la charge en expliquant que j’étais très excité à l’idée d’en porter une réellement… !

Elle m’a demandé ce qu’il m’arrivait…

Pourquoi j’avais soudain besoin d’un tel truc pour être fidèle et attentionné…?

Des collègues autour d'Elle disent que leur mari s'est tiré après avoir commencé à rencontrer des filles sur Internet...

Certains se mettent à avoir des fantasmes bizarres ( échangisme, partouzes, clubs d'exhibition, sado-masochisme... ) ou vont voir les hôtesses de bars, des prostituées, des dominatrices SM...

Donc terrible doute lorsque je lui ai dit vouloir jouer à un jeu érotique SM, vu sur Internet...

Au départ elle craignait que je veuille être soumis comme un chien, peut-être même frappé et humilié.

Heureusement, c'est un jeu plutôt romantique et subtil qui ne se joue qu'à deux et est basé sur la fidélité.

Je ne désirais pas être maltraité ni humilié et je le lui ai bien expliqué.

Un soir, Elle m’a annoncé :

« - Je veux que tu achètes le truc ! »

Quelques jours plus tard, j’ai enfilé la CB.

Mon Epouse est rentrée de son travail...

Elle était écroulée de rire de me voir avec ce truc.

Elle tâtait pour vérifier qu'Elle n'hallucinait pas..!

La première nuit fut très dure, avec ce paquet dur entre les jambes... Mais après avoir fait tout cela, pas question d’abandonner au bout de quelques heures ! C'est une bien drôle d'idée d'aller enfiler son sexe dans une cage à bite...

Se réserver pour sa compagne, lui offrir ce contrôle, arrêter la masturbation, garantir une totale fidélité, instaurer une relation plus romantique, moins axée sur la pénétration sont des arguments irrésistiblement tentants.

On referme le cadenas...

Et l'étrange aventure intérieure commence.

La première fois qu'on se retrouve dans la rue, on a l'impression que ça doit se voir, que les gens vont se retourner en faisant des remarques... Mais non, c'est totalement invisible sous le slip, mais si fort dans la tête..!

Aller au travail, revivre les situations de tous les jours mais pas du tout les mêmes sensations...

Tout me semble changé avec cette marque d'appartenance à ma Femme...

Un secret que je ne peux évidemment raconter à personne et qui me fait ressentir sa présence et sa volonté en permanence...

Rien n'échappe plus à cette main mise sur mon intimité.

Paradoxalement, je suis plus détendu avec mes collègues femmes. Sachant le gage de fidélité absolue que je porte, je peux même me permettre d'être avenant et très sympathique sans être en attitude de dragueur. Je suis simplement fier et heureux d'appartenir à ma Femme, et il y a un mystère jouissif qu'elles ne peuvent pas élucider…

Nous avions commencé par nous dire que je porterai la cage pendant la semaine puis le week-end, nous essaierions d'avoir un rapport sexuel ou au moins une masturbation pour moi, en récompense.

La cage devait sûrement agir comme une contrainte frustrante et il devait être difficile de la supporter davantage..!

Au bout de la première semaine, nous nous sommes aperçu que la cage n'était pas si difficile à porter et que surtout, avoir droit à un rapport sexuel par semaine, c'était bien davantage qu'avant de porter une "cage de chasteté"..!

Donc Mon Epouse m'a vite ordonné de réenfiler la cage, et j'ai même lu de l'impatience à me la voir remettre.

C'est au cours de la deuxième semaine que j'ai commencé à vraiment sentir "le truc" monter :

Tout ce que croyais être le fonctionnement de la cage commençait à changer.

La cage n'est pas qu'un instrument de chantage :

"Si tu fais bien le ménage et me satisfais pendant la semaine tu auras droit de te masturber samedi..."

Ca n'agit pas du tout ainsi chez moi. C'est plus subtil et plus fort.

Au bout de 8 jours je commence à contrôler mon envie de jouir. Le corps commence à se résigner.

Au 15ème je commence à ressentir dans quelle galère je me suis embarqué :

J'ai offert ma "virilité" au contrôle de mon Epouse.

Le but n'est plus d'enlever la cage pour enfin jouir mais au contraire d'apprécier cet état, un éveil sensuel permanent.

La frustration continue à s'accumuler de jour en jour mais avec la cage elle ne sert qu'à renf o r c e r ma "condition".

La privation n'en est plus une. J'apprécie cet état durable de sensualité à fleur de peau.

Je réalise la puissance inouïe de cet instrument de contrôle. Mon Epouse est une Reine toute-puissante que j'essaie de satisfaire de mon mieux.

Evidemment, pas en me servant de mon sexe !

Je prépare son retour du travail les soirs où Elle rentre plus tard que moi. Faire le ménage était une corvée, c'est devenu un jeu érotique pour honorer la Souveraine. Le dîner doit être prêt et servi. J'exprime tout mon désir par le fait de la choyer, par les gestes, les paroles, les attentions...

Je lui fais de longs massages, des soins corporels. Elle me redemande souvent une autre série de massages après la première.

Ma récompense ultime est de la voir nue, je peux enfin voir son corps de Déesse.

Quand Elle entrouvre son intimité...

Je suis à genoux.

Très vite, mon Epouse s'est mise à apprécier le pouvoir de décision que lui apporte la cage...

C'est ELLE qui décide de la fréquence de nos rapports, sachant que je ne ferai pas "pression" pour demander une pénétration.

Je me suis engagé à porter la cage et donc c'est ELLE qui décide, si elle est satisfaite par ailleurs, de m'autoriser un accès à la jouissance sexuelle. Je dois la satisfaire sur tous les domaines de la vie quotidienne

( ménage, courses, cuisine... ) la masser tous les soirs, et avec ma bouche lui faire de longs câlins intimes.

J'avais déjà joué à des jeux de bondage mais rien de comparable…

Une période d'essais d'au moins quinze jours est nécessaire avant de remettre les clés.

Après avoir démontré qu'il était possible de prendre une douche avec et de bien sécher dedans avec des cotons-tiges, plus question de la retirer même pour la douche !

La sensation est fabuleuse :

Le feu qui dévore le ventre les premiers jours doit être dompté.

Sous cage, pas de possibilité d'accéder à la jouissance sexuelle.

Je ne peux que me consacrer à chérir mon Epouse, comme je l'avais demandé.

Le but n'est plus d'enlever la cage pour enfin jouir mais au contraire d'apprécier cet état, un éveil sensuel permanent.

La frustration continue à s'accumuler de jour en jour mais avec la cage elle ne sert qu'à renf o r c e r ma "condition".

La privation n'en est plus une. J'apprécie cet état durable de sensualité à fleur de peau.

Au bout de 15 jours environ, le but n'est même plus de la retirer pour accéder au plaisir phallique.

Le besoin d'éjaculation contrôlé fait place à un léger sentiment de frustration permanent,

une excitation sensuelle de tout le corps qui me fait tomber à genoux devant ma Déesse...

Désir de l'admirer, de lui parler, de la masser, de la lécher, de m'occuper de son corps avec respect...

Manucure, vernis des pieds, massages, épilation, entretien du pubis...

C'est cela ma "condition d'encagé" :

Il est clair que si on me demandait de choisir entre un cunni et une éjaculation,

il n'y aurait aucun doute :

Je suis entièrement consacré au cunni.

Chaque seconde qui passe fait ressentir que la "virilité" est sous contrôle.

Rien n'est plus merveilleux pour moi que de n'avoir droit qu'à vénérer son intimité. La faire jouir ainsi, m'est infiniment plus satisfaisant que jouir moi-même.

Dans de telles conditions, plus question d'orgueil mal placé..!

Le machisme est constatable et doit être outrepassé.

Ce n'est pas la "menace" de prolonger l'abstinence qui me fait "filer doux"...

Au contraire, je suis plutôt demandeur...

Le dispositif agit comme une marque de contrôle,

un "collier" discret et judicieusement placé qui me rappelle ma consécration, très concrètement..!

Le rapport de f o r c e n'est plus à démontrer.

Voyant tous les avantages de cette situation,

mon Epouse s'est mise à être très rigoureuse sur le port. Elle s'est offert des bottes. Elle les a mises et s'est promenée en slip devant moi, j'étais excité par sa démarche...

Elle s'est bien amusée à se montrer très sexy tout en me rappelant qu'Elle détenait la clé et qu'il n'y avait aucune libération à espérer pendant la semaine, même pour étrenner les bottes..! Moi en fait, je préfère de très loin vénérer ma Femme par le cunni que jouir par le simple plaisir "glandulaire" de l'éjaculation... Fouiller son sexe avec ma bouche me fait complètement délirer...

Je lui ai donc demandé si je pouvais au moins espérer lui en faire un ce soir, je sais qu'elle apprécie aussi...

Elle m'a dit que ça serait possible.

Après dîner, elle est venue comme à son habitude me demander un massage relaxant.

Elle a baissé sa culotte pour que je lui masse le dos et les fesses.

Je l'ai donc massée, puis Elle est allée se doucher, a enfilé ses bottes et est revenue nue, belle et bottée me tirer par les cheveux pour me plaquer fermement la tête contre son sexe...

Un autre soir, au moment d'approcher ma bouche pour le cunni

Elle m'a repoussé, disant qu'Elle ne s'était pas lavée depuis midi.

Elle tient absolument à bien se laver avant chaque cunni...

Elle sent toujours un peu la savonnette lors de nos câlins.

J'essaie depuis toujours de lui faire comprendre que cette phobie féminine de sentir mauvais est exagérée,

je ne suis en rien dégoûté par son odeur intime.

Rien à faire, Elle avait honte, persuadée qu'il était inconvenant de se faire faire un cunni après une demi journée sans lavage.

Elle s'est endormie comme ça, ayant la flemme d'aller se laver à cette heure tardive.

Au petit matin je l'ai remassée, recaressée très sensuellement...

Lorsqu'Elle était sans aucune résistance,

je lui ai enlevé son slip, relevé les jambes et me suis faufilé devant son sexe...

Son sexe était bien offert, je l'ai humé, embrassé, mes lèvres contre ses lèvres pour les écarter.

Introduction délicate de la langue, en pointe pour fouiller puis bien large pour bien lécher toute la surface en remontant vers le clito.

Son sexe était imprégnée d'une délicate odeur de fille totalement ennivrante, un goût salé absolument délicieux.

Prise par surprise, Elle ne protestait plus quand j'étais tout autour du clito à le lécher jusqu'à l'orgasme. Elle était toute étonnée et m'a dit que si j'avais pu apprécier ainsi. Elle n'irait dorénavant plus se laver systématiquement avant chaque cunni.

Déesse et vermisseau

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